Selon une déclaration faite par le directeur par intérim des relations publiques de l’armée, le colonel Sani Usman Kukasheka…

 »L’enquête en cours sur les présumés collaborateurs et saboteurs des terroristes de Boko Haram dans la lutte contre le terrorisme et l’insurrection a conduit à l’arrestation de 9 autres personnes au cours des dernières 24 heures, portant ainsi le nombre à 32, ceci comprend 2 officiers, 2 soldats, 2 policiers et 26 civils. Beaucoup d’autres suspects seront arrêtés et poursuivis sur la base de preuves contre eux et le niveau de culpabilité. »

Les autorités militaires ont mené une enquête discrète sur des conversations téléphoniques d’une partie du personnel de sécurité et leurs compatriotes civils et ont découvert certaines conversations suspectes.

Une source militaire a déclaré mercredi que l’armée intensifie l’enquête pour clarifier deux autres cas suspects dont les présumés concernés sont arrêtés. Ces cas concernent des fuites d’informations sur le mouvement des troupes contre les insurgés et la collecte de fonds pour financer des opérations de Boko Haram par le vol de bétail.

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